« Ah, si j’étais princesse
Je s’rais aimée de tous
Mais je suis une diablesse
Et tout l’monde a
La frousse. »
Seule et désespérée
La vieille fit ses bagages
Et sortit son balai
Celui des grands voyages
A ce moment précis
Des enfants arrivèrent
En lui disant : « Merci.
Merci, Ô ma sorcière. »
Certaines gens racontent
Que l’amour en fin d’compte
A triomphé du mal
Qu’elle est phénoménale
D’autres disent qu’en voulant
Remercier les enfants
La sorcière maladroite
Les transforma en blattes
La sorcière maladroite
Les transforma…
En blatte !